Achat d’uniformes et de matériel pour des enfants de centres de l’OICN soutenus par l’association Pour qu’il vivent

Bogotá et Soacha – Novembre 2020

Objectif  :  880 euros

Pour l’achat de 11 uniformes complets pour des enfants qui rentrent en CP fin janvier 2021

 

Pour qui ?

Des enfants ayant fréquenté des centres de l’OICN (Organisation Internationale de Centres Nutritionnels) eux-mêmes aidés par Pour qu’ils vivent en France (PQV). Ces enfants, originaires de quartiers extrêmement défavorisés de Bogotá et de Cazuca à Soacha (Sud de Bogotá) ont été préparés à l’entrée au CP dans les centres soutenus par PQV. Mais l’achat du trousseau scolaire obligatoire pour rentrer à l’école publique représente des frais très (trop) élevés pour leurs parents, souvent des mères seules. Pour donner un élément de comparaison, le smic est d’environ 300 €, le seul trousseau de rentrée représente donc plus du quart d’un salaire mensuel.

 Eily Sofía, 6 ans, vit avec ses deux frères et sœurs, ses parents et sa grand-mère. Sa mère ne travaille pas et son père a perdu son emploi, comme tous les autres employés de l’entreprise où il travaillait, suite à la pandémie de Covod-19. La situation est donc très difficile pour cette famille qui cumule déjà plusieurs mois de retard de paiement de loyer pour cette raison.

Eily vient dans le centre de l’OICN depuis deux ans, et fera sa rentrée à l’école de quartier en février 2021.

Valery, 5 ans, a deux sœurs.
Elles vivent avec leur grand-mère
et leur oncle handicapé,
car leurs parents sont partis.

Loraine Natalia, 6 ans, vit avec sa petite sœur de 3 ans, Lauren, sa grand-mère de 60 ans et sa mère. Loraine est une fillette éveillée qui aime apprendre des choses nouvelles et sait profiter des opportunités qu’on lui offre dans la vie. Comme toutes les familles modestes touchées par la pandémie, la réduction des possibilités de travail fait que sa mère a 5 mois de retard dans le paiement du loyer.

Shamila Andrea, 6 ans, vit avec ses parents, ses deux frères et sœurs et une tante depuis 4 ans à Bogota. Ils viennent du Magdalena d’où ils ont été déplacés par la guérilla. Son père a perdu son travail et sa mère travaille dans un restaurant.

Shamila est une petite fille sage qui sait déjà lire et qui regrette que les activités aient été à l’arrêt pendant le confinement car elle aime beaucoup venir au centre.

Valery, 6 ans, 2 frères, vit avec sa grand-mère et son oncle handicapé.

Aleska, 5 ans, vit avec ses 2 frères, sa mère et son beau- père, sans emploi. Une connaissance leur prête une chambre et ils mendient dans les magasins pour survivre.

Daniela, 5 ans, vit avec ses 2 frères et sa très jeune mère qui, seule, travaille, le père ayant reçu une condamnation devant rester chez lui avec un bracelet électronique.

Loraine, 6 ans, vit avec sa petite sœur, sa mère, sans emploi à cause de la pandémie, et sa grand-mère ; le père les a abandonnées ; ils doivent 5 mois de loyer.

Shamila, 6 ans, vit avec ses 2 frères, ses parents et une tante. Ils ont été déplacés par la guérilla. Le père est sans travail et la mère est aide- cuisinière dans un restaurant. Ils payent un loyer.

Karol, Eily, Sara, Nicoll, Helen et Sammy sont les autres enfants nécessitant un uniforme.